NOTES
Cf., une fois de plus, la Notice (ouvrage cité) d'A. Pierron: « Aρχαιομελησιδωνοφρυνιχηρατα, cet étrange vers ïambique, ce mot aux proportions gigantesques, suffirait à lui seul pour attester, aujourd'hui même encore, l'impression profonde de Phrynichus sur ses contemporains. »
En marge, Hugo note, sans doute en prévision d'une éventuelle vérification : « (Voir Pierron, préface, p. XIX trad. d’Eschyle .)